Étiquette : relations

  • Le « Want Match

    Un exemple tiré de la psychologie du leadership.

    Le « Want Match » est un concept psychologique utilisé dans la gestion et la motivation des employés. Le concept a été développé par Mark Murphy, un expert renommé en matière de leadership et de motivation. Il fait référence à l’adéquation entre les propres désirs et besoins personnels des personnes et leurs tâches et objectifs professionnels. Lorsqu’un « Want Match » est atteint, les employés sont plus satisfaits, plus motivés et plus performants, car ils ont le sentiment que leurs souhaits personnels et professionnels sont en accord.

    Imagine un employé qui aimerait avoir plus de responsabilités parce qu’il veut évoluer et faire carrière. Si le manager s’en rend compte et propose à l’employé un poste de direction, il en résulte un « Want Match ». L’employé se sent compris et valorisé, et sa motivation augmente.

    Cependant, s’il n’y a pas de « want match », par exemple si l’employé est coincé dans un poste qui ne correspond pas à ses souhaits, cela peut entraîner une insatisfaction et une baisse des performances. Le concept souligne donc l’importance de l’adéquation entre les aspirations personnelles et les possibilités professionnelles.

    Le concept du Want Match s’applique bien au monde des relations, car dans les relations aussi, il s’agit de faire correspondre les désirs et les besoins des deux partenaires :

    Si nous voulons être heureux dans nos relations, il est essentiel de savoir quels sont les souhaits de chaque partenaire dans la relation et comment et si ceux-ci sont compatibles. Un « Want Match » dans le partenariat signifie que les attentes, les besoins et les objectifs des deux partenaires sont en harmonie ou du moins peuvent être harmonisés.

    Exemple de Want Match :

    Supposons qu’un partenaire souhaite plus d’intimité émotionnelle et de vie à deux, tandis que l’autre attache de l’importance à plus d’indépendance. Un « Want Match » serait possible si les deux partenaires expriment ces souhaits et trouvent un moyen d’intégrer les deux dans la relation – par exemple en prévoyant des moments fixes pour être ensemble, tout en laissant à chacun de la place pour des moments de liberté individuelle.

    Pourquoi est-ce important ?

    Le manque de concordance dans les désirs et les besoins conduit inévitablement à des conflits. Si les partenaires ont des idées différentes sur l’amour, l’affection ou les objectifs communs, cela peut entraîner de la frustration, des malentendus et même de l’aliénation.

    Ton Les étapes vers le « Want Match » :

    1. une communication ouverte: les deux partenaires doivent exprimer clairement leurs souhaits et leurs besoins afin que l’autre puisse les comprendre.

    2. compréhension et volonté de compromis: souvent, un « Want Match » ne se crée pas automatiquement. Parfois, il faut trouver des compromis pour que les deux partenaires obtiennent ce dont ils ont besoin.

    3. des attentes réalistes: Dans le coaching de couple ou la thérapie, on travaille souvent à remettre en question les souhaits irréalistes et à fixer des objectifs réalistes qui peuvent être satisfaits dans la relation.

    Grâce à ce travail, les couples peuvent atteindre une meilleure harmonie et une plus grande satisfaction dans leur relation, de la même manière que le concept « Want Match » augmente la satisfaction et la motivation dans le contexte professionnel.

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  • Notre cerveau et la relation monogame à long terme

    Sur la biologie, la monogamie et bien plus encore

    Beaucoup de gens se demandent pourquoi nous avons souvent des relations monogames. Pourquoi de nombreux couples restent-ils ensemble pendant de nombreuses années ? Il y a des raisons biologiques et sociales à cela.

    Que se passe-t-il dans le cerveau ?

    Lorsque nous sommes avec quelqu’un pendant longtemps, notre cerveau libère des hormones qui nous aident à créer un lien profond. Les hormones les plus importantes ici sont l’ocytocine et la vasopressine. Elles sont souvent appelées « hormones de l’attachement ».

    Ocytocine: aussi appelée « hormone des câlins » 🙂 Cette hormone est souvent libérée lorsque nous sommes proches de notre partenaire physiquement ou émotionnellement – par exemple en se faisant des câlins ou pendant une belle conversation. Elle nous donne un sentiment de sécurité et de confiance.

    Vasopressine: cette hormone nous aide à créer un lien à long terme. Elle renforce le sentiment d’appartenance à quelqu’un.

    Dans le livre Everything is Fckedde Mark Manson : Un livre sur l’espoir*, il parle de la façon dont notre esprit est constamment à la recherche de sens et d’espoir. Les relations, surtout celles de longue durée, nous donnent souvent ce genre de stabilité et de sens dans la vie. Elles nous offrent une sécurité émotionnelle.

    Que se passe-t-il dans le cerveau au début d’une relation ?
    – ou même une aventure ?

    Au début d’une nouvelle relation ou d’une aventure, la situation est différente. Ici, d’autres hormones jouent un rôle plus important, en particulier la dopamine.

    Dopamine: cette hormone provoque un fort sentiment d’excitation et de bonheur. Elle est souvent appelée « hormone de la récompense » car elle nous donne l’impression que quelque chose de nouveau ou d’excitant se produit. Lorsque nous sommes fraîchement amoureux ou que nous avons une aventure, notre cerveau libère beaucoup de dopamine. C’est la raison pour laquelle les nouvelles relations semblent souvent si excitantes et intenses.

    L’hormone adrénaline joue également un rôle. Elle nous rend vigilants et fait battre notre cœur plus vite lorsque nous sommes excités ou que nous prenons un risque. Dans une aventure, qui est souvent secrète, ce frisson peut être particulièrement fort.

    Pourquoi les infidélités se produisent-elles ?

    Pour faire simple : certaines personnes ont des aventures ou des infidélités parce qu’elles veulent ressentir ce sentiment d’excitation et d’exaltation grâce à la dopamine. Dans les relations à long terme, où l’ocytocine et la vasopressine dominent, ce sentiment d’excitation et de passion diminue naturellement. La relation se sent sûre et familière, mais pas aussi excitante qu’au début.

    Ainsi, dans une nouvelle relation avec une personne inconnue, les gens ressentent à nouveau le « frisson » qu’ils avaient au début de leur relation. Une aventure peut faire revenir ce sentiment d’aventure, car le cerveau produit à nouveau beaucoup de dopamine. Mais ce sentiment n’est souvent que temporaire.

    Que dit l’évolution à ce sujet ?

    Certains scientifiques affirment que la monogamie n’est pas nécessairement « naturelle » pour l’être humain. Dans le livre Sexe – la vraie histoire de Christopher Ryan et Cacilda Jetha, on explique que nos premiers ancêtres vivaient probablement dans des groupes où il y avait plusieurs partenaires sexuels. Cette théorie remet en question le fait que nous soyons biologiquement « programmés » pour la monogamie.

    Mais cela ne signifie pas non plus que la monogamie est « mauvaise » en soi. Dans Female Choice, on explique que les choix sexuels et le comportement des femmes ont joué un rôle important dans l’évolution. Les femmes prennent souvent des décisions conscientes sur les personnes avec lesquelles elles souhaitent se reproduire, en se basant sur ce qui les aide le mieux, elles et leur famille. Les relations monogames peuvent donc être une stratégie pour s’assurer que leur progéniture soit bien prise en charge.

    Conclusion

    Bien que notre cerveau nous aide à créer des liens étroits et que la monogamie puisse nous apporter de la sécurité, il est important de comprendre la diversité des relations humaines. Les êtres humains évoluent constamment, tant sur le plan biologique que sur le plan émotionnel. Il est important que les couples en parlent et trouvent ensemble des moyens de maintenir la passion et l’intimité même dans les relations à long terme. Cela ne sera pas toujours le cas automatiquement. Ce que tu découvriras avec ton partenaire dans le cadre de PaarGespräch sera ton modèle de relation individuel : Les relations sont différentes et ce qui fonctionne pour l’un n’est pas forcément valable pour tous.

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  • Le sexe dans les relations à long terme

    Développement ou stagnation ?

    Dans une relation à long terme, la vie sexuelle peut changer. De nombreux couples constatent que la passion spontanée diminue au bout d’un certain temps. Mais cela ne signifie pas que le sexe se perd automatiquement dans une longue relation. Au contraire, il peut continuer à se développer si les deux partenaires y travaillent activement.

    Pourquoi la vie sexuelle change-t-elle ?

    Au cours des premiers mois ou des premières années d’une relation, tout est excitant et nouveau. L’attirance sexuelle est souvent très forte. Tout est nouveau et excitant et encore un peu incertain – le taux de dopamine est élevé. Mais avec le temps, la vie quotidienne devient plus importante, l’ocytoxine, l’hormone de l’attachement, remplace l’adrénaline et la dopamine. Conséquence : la tension sexuelle spontanée peut diminuer. Le stress, les routines ou même les changements physiques peuvent aussi jouer un rôle ici.

    Mais cela ne signifie pas que le sexe devient moins important. Il ne fait que changer. Les couples qui sont ensemble depuis longtemps devraient travailler consciemment sur leur intimité. Cela peut signifier réserver du temps l’un pour l’autre, essayer de nouvelles choses et – surtout – parler ensemble de leurs désirs et de leurs besoins.

    Le sexe est une collaboration active

    Le sexe dans une relation à long terme n’est pas comme au début, où tout se passe presque automatiquement. Les couples doivent se ménager du temps et de l’espace pour leur intimité physique. Cela signifie tout d’abord que les deux partenaires doivent être prêts à développer leur relation sexuelle : Si l’un des partenaires n’est pas intéressé par l’échange, c’est très difficile ! Il ne s’agit pas seulement de l’acte physique, mais aussi de rester proche émotionnellement en tant que couple.

    Il est important de parler ouvertement du sexe. L’expérience de notre travail à PaarGespräch le montre : Beaucoup se taisent par peur ou par manque d’assurance. Pourtant, l’échange sur les désirs, les peurs et les fantasmes peut renforcer le lien. Cela signifie que le sexe est un domaine de la relation qui doit être entretenu – comme tout le reste. Après tout, nous prenons aussi le temps de planifier notre déjeuner ou nos vacances – alors pourquoi pas notre vie sexuelle ?

    Activité : Parle de ta vie sexuelle

    1. asseyez-vous tranquille ment – prenez au moins 30 minutes pendant lesquelles vous ne serez pas dérangés.

    2. chacun parle à son tour – l’un commence et raconte comment il ou elle vit sa vie sexuelle actuelle. Qu’est-ce qui se passe bien ? Comment la personne se sent-elle actuellement avec le sexe en couple ? Avec la monogamie ? Où y a-t-il des incertitudes ? Y a-t-il des désirs ? Ou peut-être un fantasme de longue date ?

    3. l’autre écoute activement – pas d’interruptions, juste écouter et essayer de comprendre. N’hésite pas à prendre des notes pour ne rien oublier.

    4. échangez vos points de vue !
    Lorsque les deux ont pu faire leurs déclarations dans le calme, vous pouvez parler ensemble de ce que vous avez entendu et compris chacun. Vous êtes-vous vraiment compris ? Y a-t-il des points qui ne sont pas clairs ?

    Ce n’est qu’ensuite que tu peux choisir les points que tu souhaites peut-être changer ou ce qui est particulièrement important pour toi.

    Cet exercice peut t’aider à aborder le sujet du sexe dans une atmosphère détendue. Il s’agit de parler ouvertement et sans pression et de travailler ainsi ensemble sur votre intimité.

    Conclusion

    Le sexe dans les relations à long terme ne doit pas perdre de son importance. Avec un peu d’effort, des discussions ouvertes et la volonté d’essayer de nouvelles choses, le lien sexuel peut rester vivant pendant de nombreuses années – avec le soutien de PaarGespräch, cet échange peut également avoir lieu avec notre thérapeute KI.

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  • La confiance – mais la vraie !

    Confiance et pseudo-confiance : Quelle est la différence ?

    La confiance est une partie importante de notre vie. Sans confiance, les relations et les communautés ne peuvent pas bien fonctionner. Mais tout ce qui ressemble à de la confiance n’est pas forcément de la vraie confiance. Parfois, nous nous trompons et pensons avoir confiance alors qu’en réalité, il s’agit d’une « pseudo-confiance ». Dans cet article, nous allons voir de plus près ce qu’est la vraie confiance et ce qu’elle n’est pas. Pour cela, nous nous référons à deux expertes connues : Esther Perel et Rachel Botsman.

    Qu’est-ce que la confiance ?

    La confiance signifie que nous pouvons compter sur quelqu’un. Cela signifie que nous croyons que l’autre personne ne va pas nous blesser ou nous décevoir intentionnellement. La confiance est donc quelque chose de très précieux et de fragile. Une fois détruite, il faut beaucoup d’énergie pour la reconstruire.

    La thérapeute de couple Esther Perel parle de « First Trust » (« première confiance »). Cette première confiance s’acquiert souvent pendant l’enfance, lorsque nous nous appuyons sur nos parents ou les personnes qui nous entourent. Cette confiance est la base pour que nous puissions faire confiance à d’autres personnes plus tard. Le terme allemand pour cela est aussi « Urvertrauen« . Cette confiance originelle marque donc toute notre vie. En principe, c’est une chose merveilleuse et c’est la base d’hypothèses de base saines comme « je peux compter sur les autres ».

    Cependant, le concept de la première confiance nous pose toujours un problème lorsque notre vis-à-vis se comporte de manière blessante. C’est à ce moment-là que beaucoup de personnes en relation se retrouvent sur la terre ferme.

    Qu’est-ce que la pseudo-confiance ?

    La confiance que nous avons n’est pas toujours une vraie confiance. Parfois, nous vivons nos relations dans ce que l’on appelle la « pseudo-confiance ». Nous pensons faire confiance à quelqu’un, mais en réalité, ce n’est pas le cas. Au contraire, nous partons du principe que la personne avec qui nous sommes en relation ne nous blessera JAMAIS. L’arrière-plan psychologique peut être qu’en réalité, nous ne nous sentons pas du tout en sécurité, mais que nous agissons simplement comme si tout allait bien. La pseudo-confiance peut survenir parce que nous voulons éviter les conflits ou que nous avons peur d’être blessés. Esther Perel décrit :  » Dans les relations, la confiance n’est pas une promesse de ne jamais se blesser l’un l’autre. C’est le risque que nous nous fassions mal l’un à l’autre et la confiance que, si nous le faisons, nous nous réunirons pour guérir ». Cela peut se traduire à peu près comme suit : « (Le vrai) La confiance dans une relation ne signifie pas que l’on se promet de ne jamais blesser l’autre. Il s’agit plutôt d’être conscient que l’on pourrait se blesser l’un l’autre, mais d’avoir confiance que l’on travaillera alors ensemble pour guérir les blessures. « Tu découvriras plus loin ce qu’Esther Perel décrit exactement ici :

    L’experte en confiance Rachel Botsman a développé un concept intéressant à ce sujet. Selon elle, la vraie confiance est faite de petits « moments de confiance ». Cela signifie que la vraie confiance n’est pas quelque chose qui est là d’un coup et qui reste ensuite. Elle se construit plutôt par petites étapes. Chaque fois que quelqu’un nous montre que nous pouvons lui faire confiance, notre confiance grandit. Rachel Botsman souligne que la vraie confiance est basée sur l’honnêteté et la franchise.

    La différence entre la confiance et la pseudo-confiance

    La différence entre la confiance et la pseudo-confiance réside dans notre degré d’honnêteté et de franchise. Lorsque la confiance est réelle, nous nous sentons en sécurité parce que l’autre personne nous montre qu’elle est honnête. La pseudo-confiance se produit lorsque nous essayons de ne pas voir les problèmes ou d’éviter les conflits.

    La confiance signifie

    – L’honnêteté

    – La sécurité

    – Ouverture d’esprit

    Pseudo-confiance signifie

    – Éviter les conflits

    – Incertitude

    – Le manque de sincérité

    Comment établir une véritable confiance ?

    Pour établir une véritable confiance, nous devons être prêts à être honnêtes, même si cela est désagréable. Cela signifie que nous reconnaissons nos erreurs et celles des autres et que nous parlons de nos sentiments. La confiance grandit lorsque nous nous montrons mutuellement que nous sommes fiables.

    La confiance n’est pas quelque chose qui est simplement là – elle se construit pas à pas. Si nous nous montrons toujours, dans de petits moments, que nous pouvons compter l’un sur l’autre, la vraie confiance grandit.

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  • Rôles, obligations et budget…

    Et qu’en est-il de tes propres besoins ?

    Dans une relation, les tâches sont nombreuses. Cela inclut le ménage, l’éducation des enfants et les propres désirs et besoins. Pour que tous les membres de la famille soient satisfaits, il est important de bien répartir les tâches. Chez PaarGespräch, nous nous sommes donné pour mission de travailler avec vous sur la manière dont vous pouvez partager ces tâches de manière équitable. Notre base thérapeutique est l’approche dite « basée sur la différenciation » :

    Qu’est-ce que la thérapie de couple basée sur la différenciation ?

    La thérapie de couple basée sur la différenciation aide les couples à rester forts en tant qu’individus tout en étant dans une relation . Cela signifie que chaque partenaire peut garder ses propres désirs et besoins, tout en étant là pour la relation et la famille. Il s’agit de trouver un équilibre entre le moi et le nous.

    Les couples apprennent ainsi à répartir les rôles et les tâches de manière à ce que chacun puisse répondre à ses propres besoins sans pour autant négliger l’autre.

    Ces chers petits – l’éducation des enfants comme méga chantier

    Lorsque les couples ont des enfants, leur vie change totalement. La question de savoir qui s’occupe des enfants devient importante. Traditionnellement, les mères s’occupaient davantage des enfants, mais aujourd’hui, de nombreux couples veulent partager cette tâche. Chez PaarGespräch, nous insistons sur le fait qu’il est important que les deux partenaires soient impliqués dans l’éducation. Ainsi, personne ne se sent dépassé et les enfants voient les deux parents comme des personnes de référence égales. Il est très important que chaque parent puisse mettre à profit ses propres forces et capacités dans l’éducation !

    Voici quelques conseils concrets :

    Discussions régulières: réunissez-vous régulièrement et discutez de la manière dont se déroule l’éducation des enfants. Y a-t-il des domaines dans lesquels l’un d’entre vous prend trop de responsabilités ? Qui peut aider davantage dans certaines tâches, comme les devoirs, le sport ou les activités de loisirs ?

    Des responsabilités claires: Répartis certaines tâches. Par exemple, l’un d’entre vous peut emmener les enfants à l’école et l’autre peut aller les chercher. Si vous avez des responsabilités bien définies, chacun sait ce qu’il doit faire.

    Plan journalier ou hebdomadaire: Crée un plan dans lequel tu écris qui fait quoi et quand, par exemple l’heure du bain, l’aide aux devoirs ou les visites chez le médecin. Cela permet d’éviter les malentendus.

    Partager les temps parentaux: Même dans les situations difficiles comme la maladie ou les heures de sommeil, il est important que les deux parents soient impliqués. Conviens de la manière dont vous pouvez vous relayer pour éviter la surcharge.

    Faire attention les uns aux autres: Fais attention si l’un d’entre vous se sent surchargé. Si c’est le cas, discute ensemble de la manière dont l’autre peut prendre le relais.

    Le peu de ménage

    Les tâches ménagères sont un autre point important dans toute relation. Qui fait la lessive ? Qui prépare les repas ? Ces questions peuvent être source de conflits si elles ne sont pas discutées.

    PaarGespräch aide les couples à se répartir les tâches de manière équitable sans que l’un des partenaires ne se sente désavantagé. Il ne s’agit pas seulement de répartir les tâches 50/50, mais aussi de faire en sorte que les rôles soient flexibles. Par exemple, un partenaire peut faire plus de tâches ménagères un jour parce que l’autre a eu une journée stressante. Il est important de parler de ce que l’on attend de l’autre et de s’assurer que chacun puisse exprimer ses besoins.

    Des conseils concrets :

    Planification commune: fais une liste de toutes les tâches ménagères (par exemple la cuisine, le nettoyage, les courses, la lessive). Discute de qui peut se charger de quelle tâche, en fonction de vos forces et de vos préférences. Celui qui préfère cuisiner se chargera peut-être plus souvent de la cuisine, tandis que l’autre s’occupera de la salle de bain. Tout est ok tant que cela vous convient à tous les deux !

    Répartition flexible des tâches: sois flexible si l’un d’entre vous peut en faire plus ou moins. Si l’un a eu une journée stressante, l’autre peut en faire plus dans le ménage et vice versa. L’important est de rester ouvert aux changements.

    Utiliser la technologie: Utilise des applications ou des calendriers simples pour enregistrer les tâches. Cela peut aider à garder une vue d’ensemble et à répartir les tâches de manière équitable.

    Définir des jours de nettoyage et de rangement: Tu peux définir des jours fixes par semaine ou par mois où vous ferez le ménage ensemble. Ainsi, les tâches sont partagées et personne ne se sent seul responsable.

    Intervenir en cas de besoin: si l’un d’entre vous ne parvient pas à accomplir une tâche, il est important que l’autre prenne le relais sans discussion. Ce soutien renforce le sentiment d’appartenance.

    Attention ! Ne pas oublier ses propres besoins

    Il arrive souvent dans une relation que les partenaires se concentrent tellement sur le quotidien, le ménage et les enfants qu’ils en oublient leurs propres besoins. Chez Conversation de couple, nous soulignons l’importance que chacun ait du temps pour soi. Les deux partenaires devraient pouvoir se réserver de l’espace pour leurs propres hobbies et intérêts. Ce n’est qu’ainsi que la relation reste saine et que les deux partenaires sont heureux.

    Dans la thérapie de couple basée sur la différenciation, on apprend comment chaque partenaire peut rester fidèle à lui-même sans blesser l’autre. Il est important de se créer des espaces de liberté sans que l’un ne se sente négligé. Les deux partenaires doivent se soutenir mutuellement pour poursuivre leurs propres rêves.

    Des conseils concrets :

    Créer des espaces de liberté: Les deux partenaires devraient consciemment prendre du temps pour eux. Cela peut signifier, par exemple, que l’un va à la salle de sport ou pratique un hobby seul pendant quelques heures le week-end pendant que l’autre s’occupe des enfants.

    Prévoir du temps personnel: détermine les moments où chacun a du temps pour soi. Inscris ces heures dans un calendrier commun afin d’éviter les malentendus. Si chacun sait quand l’autre a besoin de temps pour lui, cela peut éviter le stress.

    Soutenir la réalisation d’objectifs: Si l’un d’entre vous poursuit des objectifs personnels, comme une formation continue ou un nouveau hobby, aidez-vous mutuellement. L’autre peut alors prendre en charge des tâches supplémentaires pendant ce temps, afin que chacun puisse se développer.

    Communiquer sur les besoins: Parle ouvertement de ce dont tu as besoin. Que ce soit plus de temps pour toi ou plus de temps ensemble, ce n’est qu’en partageant vos désirs que vous pourrez trouver des solutions qui fonctionnent pour les deux.

    Prévoir du temps en couple: En plus de ton propre temps, tu devrais aussi prévoir du temps en tant que couple. Fais consciemment quelque chose ensemble, sans les enfants ou d’autres distractions, pour renforcer le lien entre eux.

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  • Exercice Le lieu sûr

    Un exercice de soutien émotionnel, surtout en cas d’anxiété.

    1. assieds-toi confortablement et ferme les yeux. Inspire et expire quelques fois profondément dans le ventre. Détends un corps : tes jambes, tes bras, ton visage.

    2. imagine un endroit où tu te sens absolument en sécurité et à l’aise. Il peut s’agir d’un lieu réel, comme ton endroit préféré dans la nature, ou d’un lieu imaginaire que tu t’inventes.

    3. réfléchis à l’aspect, à l’odeur, au son et à la sensation de cet endroit. Peut-être que tu entends le chant des oiseaux, que tu sens le sable chaud sous tes pieds ou que tu sens l’odeur des fleurs fraîches.

    4. reste dans cette idée pendant quelques minutes. Profite de ton endroit sûr. Tu peux peut-être sentir que ton corps continue à se détendre.

    5. quand tu es prêt, ouvre lentement les yeux et reviens à l’ici et maintenant.

    Si tu le souhaites, enregistre ton lieu de sécurité en le dessinant ou mémorise un geste particulier qui peut te rappeler ton lieu de sécurité.

    Cet exercice peut t’aider à te calmer dans les moments de stress ou d’angoisse, car tu as toujours ton lieu sûr avec toi.

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  • Les 5 langues de l’amour

    Comment les couples peuvent mieux se comprendre

    Chaque personne montre et ressent l’amour de différentes manières. Parfois, les couples ont l’impression qu’ils ne se comprennent pas vraiment, même s’ils s’aiment. La raison pourrait être qu’ils parlent « différentes langues d’amour ». Cette idée vient du Dr Gary Chapman, un anthropologue et thérapeute de couple américain, qui a découvert cinq façons différentes dont les gens expriment et reçoivent l’amour. Il a appelé ces manières les cinq langues de l’amour.

    Les cinq langues de l’amour

    1. des mots de reconnaissance: certaines personnes se sentent particulièrement aimées lorsqu’elles entendent des compliments ou des mots doux. Un simple « je t’aime » ou « merci de faire tant de choses pour moi » peut leur montrer à quel point ils sont importants.

    2. la vie à deux: pour les autres, il est important de passer du temps ensemble . Il ne s’agit pas seulement d’être ensemble, mais de donner toute ton attention à ton partenaire – sans distractions.

    3. les cadeaux: les petits cadeaux ou les petites attentions peuvent envoyer un message fort. Ce n’est pas la valeur du cadeau qui compte, mais le fait d’avoir pensé à l’autre.

    4. serviabilité: certaines personnes se sentent aimées lorsque leur partenaire les aide au quotidien, que ce soit pour faire la vaisselle ou pour d’autres tâches. Ces actes montrent que l’on est là l’un pour l’autre.

    5. le contact physique: pour beaucoup, la proximité physique – comme le sexe, les câlins, les baisers ou le simple fait de se tenir par la main – est le moyen le plus important de ressentir l’amour.

    Comment découvrir le langage de l’amour de ton partenaire ?

    Chaque personne a sa langue d’amour préférée, celle qui compte le plus pour elle. Si tu connais la langue de ton partenaire, tu peux lui montrer ton amour d’une manière qui le rend particulièrement heureux. Voici un exercice simple pour vous en tant que couple :

    Exercice : Découvre tes langages d’amour

    1. parle entre toi et moi

    Assieds-toi ensemble et lis les cinq langages de l’amour. Réfléchis chacun de ton côté à la langue qui t’attire le plus. Peut-être que vous parlez plusieurs langues 🙂 Que fait l’autre qui vous rend particulièrement heureux ? Qu’est-ce qui vous manque ?

    2. partage tes pensées

    Parle ouvertement de ton langage d’amour préféré. Cela peut ressembler à : « Je me sens très aimé quand tu m’aides, car cela montre que tu penses à moi » ou « J’apprécie beaucoup quand nous passons simplement du temps ensemble ».

    3. essaie de le faire

    La semaine suivante, essayez de parler le langage amoureux de l’autre. Si ton partenaire apprécie les moments à deux, planifie une activité commune où vous passerez du temps ensemble. S’il apprécie les mots de reconnaissance, fais-lui un petit compliment chaque jour.

    4. réfléchit à la fin de la semaine

    A la fin de la semaine, vous vous réunissez à nouveau et parlez de ce que vous avez ressenti. Qu’est-ce qui vous a fait particulièrement plaisir ? Que pouvez-vous améliorer à l’avenir ? Essaye l’exercice – cela pourrait amener ta relation à un tout autre niveau !

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  • Types de personnalité

    – Ce qu’ils sont et comment ils vont ensemble

    Chaque personne est différente. Nous avons des préférences, des forces et des faiblesses différentes. Ces différences sont appelées types de personnalité. Chaque type de personnalité décrit la façon dont quelqu’un voit le monde, pense et agit.

    Les quatre dimensions de la personnalité

    Il existe de nombreuses théories sur les types de personnalité, mais l’une des plus connues est le modèle de Carl Jung, un psychiatre suisse et fondateur de la psychologie analytique. Ce modèle divise la personnalité en quatre dimensions principales:

    1. extraversion (E) vs introversion (I)

    Cela décrit si quelqu’un reçoit son énergie plutôt du monde extérieur (E) ou du monde intérieur (I).

    – Les personnes extraverties aiment être avec les autres et vivent activement le monde. Ils se sentent bien lorsqu’ils sont au centre de l’attention et vivent beaucoup de choses ensemble. Ils tirent leur énergie du contact avec les autres.

    – Les introvertis se sentent bien dans le calme et la solitude. Ils aiment réfléchir et ont souvent besoin de temps pour eux afin de se ressourcer. Ils tirent leur énergie du retrait des autres et aiment donc prendre du temps pour eux.

    2. sensing (S) vs intuition (N)

    Cette dimension décrit la façon dont quelqu’un absorbe les informations.

    Les types de sensing se concentrent sur les faits et les détails. Ils font attention à ce qu’ils voient ou entendent directement et aiment trouver des solutions pratiques. Ils aiment planifier, faire des listes et les traiter de manière systématique.

    – Les personnes intuitives pensent plutôt de manière abstraite et se concentrent sur l’ensemble. Ils cherchent des modèles et de nouvelles idées. La planification ne lui convient pas vraiment.

    3. penser (T) vs ressentir (F)

    Cela décrit la façon dont les gens prennent des décisions .

    Les penseurs (T) utilisent la logique et la raison pour prendre des décisions. Ils essaient d’être objectifs et justes.

    Les sondes (F) se basent davantage sur leurs sentiments et leurs valeurs. Ils accordent beaucoup d’importance à l’harmonie et au fait que les autres se sentent bien.

    4. juger (J) vs percevoir (P)

    Cette dimension montre comment les gens organisent leur vie.

    Les types de jugement aiment que tout soit planifié et organisé. Ils se sentent à l’aise lorsqu’ils ont le contrôle et que les choses sont réglées.

    Les types Perceiving sont plus spontanés et plus flexibles. Ils aiment rester ouverts à de nouvelles possibilités et repousser les décisions pour avoir plus de liberté.

    Comment les types de personnalité s’accordent

    Lorsque deux personnes se rencontrent dans une relation, il s’agit généralement de deux types de personnalité différents – tous les types de personnalité ne s’harmonisent pas automatiquement avec tous les autres. Cela peut être une raison pour des conflits persistants.

    Voici quelques combinaisons possibles 🙂

    Extraverti et introverti: Ces opposés peuvent s’attirer, mais il peut aussi y avoir des tensions. Les extravertis veulent souvent passer beaucoup de temps avec les autres, tandis que les introvertis ont besoin de calme. Si les deux le comprennent et le respectent, ils peuvent bien s’entendre.

    Sensation et intuition: ces types pensent différemment, ce qui peut conduire à des malentendus. Les types Sensing veulent des faits clairs, tandis que les Intuitifs aiment parler de possibilités et d’idées. Cela aide si les deux apprennent à apprécier le point de vue de l’autre.

    Penseur et palpeur: les penseurs sont plutôt objectifs et directs, tandis que les palpeurs sont attentifs aux émotions et à l’harmonie. Cette combinaison peut bien fonctionner si les deux sont prêts à s’entendre. Les penseurs peuvent apprendre à être plus prévenants, tandis que les sondes apprennent à mieux comprendre les arguments logiques.

    Juger et percevoir: les types de juges aiment faire des plans, tandis que les types de perceveurs préfèrent être spontanés. Il peut être difficile de trouver un rythme commun. Il est utile que les personnes de type Judging apprennent à être plus flexibles et que les personnes de type Perceiving acceptent que certaines choses doivent être planifiées.

    Conclusion : comment les types de personnalité influencent les relations

    Les différents types de personnalité apportent de la couleur mais aussi un potentiel de conflit dans nos relations interpersonnelles. Les contraires peuvent s’attirer, mais aussi se défier. Ce qui est important, c’est de comprendre comment nous fonctionnons nous-mêmes et comment fonctionnent les autres. La communication et la compréhension mutuelle sont la clé pour bien s’entendre.

    Il n’existe pas de combinaisons « parfaites ». Chaque type peut avoir une belle relation avec n’importe quel autre, si les deux sont prêts à faire attention l’un à l’autre et à apprécier les points forts de chacun. Les différences ne sont pas un obstacle, mais une chance d’apprendre les uns des autres et de grandir ensemble.

    Dans l’exercice suivant, tu peux obtenir des indices sur tes types de personnalité :

    Quel est ton type de personnalité ?

    Réponds honnêtement aux questions suivantes. A la fin, tu obtiendras une tendance sur le type de personnalité que tu as tendance à avoir. Rappelle-toi qu’il n’y a pas de « bonnes » ou de « mauvaises » réponses – il s’agit d’apprendre à mieux te connaître.

    1. où trouves-tu ton énergie ?

    a) Je me sens bien quand je suis avec beaucoup de gens et que je participe activement à la vie.

    b) J’ai besoin de calme et de temps pour moi afin de me ressourcer.

    2. comment gères-tu les informations ?

    a) Je fais attention aux faits et aux détails et je privilégie les informations concrètes.

    b) J’aime réfléchir aux idées et aux possibilités et voir au-delà de l’évidence.

    3. comment tu prends tes décisions ?

    a) J’utilise la logique et je réfléchis à ce qui a le plus de sens.

    b) Je tiens compte de mes sentiments et de ceux des autres dans mes décisions.

    4. comment organises-tu ta vie ?

    a) J’aime faire des plans et régler les choses à l’avance.

    b) J’aime rester spontané et flexible pour répondre aux nouvelles opportunités.

    Évaluation :

    La plupart du temps a)

    Tu as plutôt tendance à avoir une personnalité extravertie (E), pratique (S), réfléchie (T) et organisée (J). Tu vas activement vers les autres, tu apprécies que les choses se déroulent de manière claire et logique, et tu aimes que des plans soient faits. Dans les relations, tu apprécies la structure et la communication claire. Tu peux parfois paraître très rationnel, ce qui peut t’amener à négliger les besoins émotionnels de ton partenaire. Il peut être utile de laisser de la place à la spontanéité de temps en temps et d’être plus attentif aux sentiments des autres.

    La plupart du temps b)

    Tu as plutôt tendance à avoir une personnalité introvertie (I), intuitive (N), sensible (F) et spontanée (P). Tu aimes réfléchir tranquillement, tu es ouvert aux nouvelles idées et tu te laisses guider par tes sentiments. Dans les relations, tu es souvent sensible et tu fais attention à l’harmonie. Cependant, il peut être difficile pour toi de t’organiser ou de prendre des décisions. Ton partenaire pourrait parfois trouver cela chaotique si tu ne fais pas autant attention aux plans. Essaie de trouver un équilibre entre la spontanéité et la structure.

    Relation avec les relations :

    Selon ton type de personnalité, cela influence la manière dont tu interagis avec ton partenaire ou dans tes amitiés. Les personnes ayant un sens de l’organisation clair peuvent par exemple bien s’entendre avec quelqu’un de flexible – si les deux sont prêts à apprendre l’un de l’autre. Ceux qui sont plus émotionnels peuvent aider à créer plus de profondeur et de compréhension dans la relation, tandis que ceux qui pensent logiquement assurent une communication claire.

    Dans les relations, il est important de reconnaître et d’apprécier les différences entre les types de personnalité. Les opposés peuvent bien se compléter si les deux partenaires sont ouverts à accepter l’autre tel qu’il est.

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  • Les croyances et leur origine

    – Comment ils façonnent notre vie et comment nous pouvons les changer

    Les croyances sont des convictions profondément enracinées que nous développons au cours de notre vie. Elles influencent la façon dont nous nous voyons et dont nous voyons le monde qui nous entoure. On pourrait aussi dire qu’elles sont le système d’exploitation de notre cerveau, les thérapeutes parlent aussi ici de suppositions de base qui, comme une « fondation de pensée » , forment la base de toutes nos constructions mentales.

    Les croyances peuvent nous soutenir – ou nous mettre des bâtons dans les roues. Les croyances négatives et dysfonctionnelles en particulier ont une grande influence sur l’image que nous avons de nous-mêmes et sur nos relations.

    Source : flickr.com/ Dennis Skley

    Que sont les croyances et comment se forment-elles ?

    Les croyances se forment généralement pendant l’enfance et l’adolescence. Elles se forment grâce à nos expériences, c’est-à-dire à ce que nous disent nos parents, nos professeurs ou nos amis, et à la manière dont nous interagissons avec le monde. Un exemple simple de croyance positive serait : « J’ai de la valeur ». Une croyance négative pourrait être : « Je ne suis pas assez bon ».

    Nos croyances agissent comme des lunettes à travers lesquelles nous regardons le monde. Par exemple, si nous avons intériorisé la croyance « je vais toujours échouer », nous aurons exactement cette attente dans de nombreuses situations – même si la réalité est tout autre. De telles croyances peuvent nous bloquer et nous amener à nous saboter nous-mêmes.

    Croyances négatives et dysfonctionnelles

    Les croyances dysfonctionnelles sont des croyances qui nous limitent dans notre vie. Elles peuvent être le résultat d’expériences traumatisantes, de critiques ou d’échecs répétés. Voici des exemples de telles croyances :

    – « Je ne suis pas digne d’être aimée ».

    – « J’échouerai toujours ».

    – « Les autres ne sont pas dignes de confiance ».

    Ces croyances entraînent souvent des sentiments négatifs comme la peur, la culpabilité ou la honte. Elles nous empêchent de relever de nouveaux défis ou d’avoir des relations épanouissantes.

    Comment changer les croyances

    Identifier et changer les croyances dysfonctionnelles est un élément central de nombreuses approches thérapeutiques, comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Dans la TCC, il s’agit d’identifier nos schémas de pensée négatifs et de les remplacer par des croyances positives et plus réalistes.

    La première étape consiste à prendre conscience de ses croyances. Souvent, elles sont si profondément ancrées en nous que nous ne les remettons même pas en question. Une question que tu peux te poser est : « Qu’est-ce que je crois à mon sujet dans cette situation ? ».

    Une fois qu’une croyance est identifiée, il est utile de la remettre en question. Est-ce vraiment vrai que j’échoue « tout le temps » ? Ne puis-je pas trouver des situations dans lesquelles j’ai réussi ? En nous posant ces questions, nous relâchons le pouvoir que ces croyances ont sur nous.

    Exercice pour les couples : identifier les croyances dans la relation

    Les croyances jouent un rôle important dans nos relations. Elles influencent la manière dont nous nous percevons mutuellement et dont nous communiquons entre nous. Sur la base de notre système d’exploitation, nous créons en quelque sorte un manuel sur la manière dont nous nous voyons et dont nous évaluons notre partenaire dans la relation.

    L’exercice suivant t’aidera à explorer tes croyances et à échanger sur tes convictions communes :

    Étape 1 : chaque partenaire s’assoit dans un endroit calme et note deux ou trois croyances qu’il a sur les relations en général ou sur son propre couple. Des exemples pourraient être :

    – « Si je m’ouvre, je serai blessé ».

    – « Mon partenaire devrait toujours savoir comment je me sens sans que je doive le dire ».

    Étape 2 : Échange sur ces croyances. Veille à écouter sans juger. Demandez-vous mutuellement : « D’où vient cette croyance ? Quelle pourrait en être l’origine ? »

    Étape 3 : réfléchis ensemble si ces croyances font du bien à la relation ou si elles sont peut-être un obstacle. Y a-t-il des croyances que vous aimeriez changer ensemble ?

    Étape 4 : développe des croyances positives et de soutien que tu souhaites adopter en tant que couple. Des exemples pourraient être

    – « Nous avons tous les deux le droit de nous montrer vulnérables et d’en parler ».

    – « Je peux faire confiance à mon partenaire et lui demander ouvertement de me soutenir ».

    Cet exercice aide les couples à plonger plus profondément dans leur dynamique relationnelle et à développer des croyances qui renforcent la confiance et la proximité.

    Conclusion

    Les croyances marquent notre vie de multiples façons. Les croyances dysfonctionnelles, en particulier, peuvent avoir un impact négatif sur notre bien-être et nos relations. Mais grâce à une réflexion consciente et à l’aide de techniques thérapeutiques, nous pouvons changer ces croyances et mener une vie plus épanouie. L’exercice pour les couples montre comment les croyances jouent également un rôle dans les relations – et comment nous pouvons les transformer ensemble en quelque chose de positif.

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  • Syndrome d’Imposter

    Quand nous avons l’impression d’être des escrocs

    As-tu déjà eu l’impression que tu ne méritais pas ton succès ? Ou que tu finiras par te faire démasquer parce que les autres se rendront compte que tu n’es pas aussi bon qu’ils le pensent ?

    C’est exactement ce sentiment qui décrit le syndrome de l’imposteur. Il signifie que les gens ont constamment l’impression de ne pas être assez bons, malgré des succès et des capacités évidents. Ils se sentent comme des « tricheurs » qui ne méritent pas leur succès.

    Les hypothèses de base négatives derrière le syndrome d’Imposter

    Derrière le syndrome d’Imposter se cachent souvent des croyances négatives profondément enracinées sur soi-même. Les personnes atteintes de ce syndrome ont souvent des pensées comme

    – « Je ne suis pas vraiment aussi bon que les autres le pensent ».

    – « J’ai juste eu de la chance ».

    – « Au bout d’un moment, ils se rendent compte que je ne peux pas faire tant de choses que ça ».

    Le rôle des émotions dans le syndrome d’Imposter

    Ces pensées négatives entraînent des émotions fortes qui peuvent peser sur la vie quotidienne :

    Peur : La peur que les autres découvrent la « vérité » sur leur prétendue incapacité.

    Honte : ils ont honte parce qu’ils pensent qu’ils ne méritent pas leur succès.

    Stress : ils essaient constamment d’en faire encore plus pour prouver aux autres (et à eux-mêmes) qu’ils sont assez bons.

    Le lien entre le syndrome d’Imposter et l’estime de soi

    Les personnes qui vivent le syndrome de l’imposteur ont souvent une faible estime de soi. Ils mesurent leur valeur en fonction de ce qu’ils réalisent et de la façon dont les autres les voient. Mais la valeur personnelle ne devrait pas dépendre du fait d’être parfait ou de répondre à toutes les attentes. Notre valeur en tant qu’être humain est indépendante des réussites extérieures. Si nous rendons notre estime de soi plus forte, nous pouvons aussi surmonter les pensées négatives du syndrome de l’imposteur.

    Conseils et exercices contre le syndrome de l’imprimeur

    1. reconnais tes réussites :

    Souvent, les personnes ayant un sentiment d’imposture ont tendance à minimiser leurs succès. Un exercice qui peut aider est de tenir un journal des succès. Note chaque jour ce que tu as bien réussi. Tu apprendras ainsi à mieux reconnaître tes capacités et tes performances.

    2. en parler

    Il peut être très soulageant de parler de ces sentiments avec quelqu’un. Que ce soit avec des amis, la famille ou un coach, on se rend souvent compte que l’on n’est pas seul. Beaucoup de personnes qui réussissent ont des doutes similaires. Cela aide de voir que de telles pensées sont normales et n’ont rien à voir avec la réalité.

    3. remets en question tes pensées négatives

    La prochaine fois que tu penseras que tu as juste eu de la chance ou que tu n’es pas assez bon, demande-toi : y a-t-il des preuves de cela ? Ou peut-être que tu as beaucoup plus de raisons de réussir grâce à tes compétences ? Prends conscience que les pensées ne sont souvent pas la vérité et que tu peux apprendre à leur donner moins de pouvoir.

    4. travaille sur ton estime de soi :

    Un bon exercice pour améliorer l’estime de soi est de se dire chaque jour au moins trois choses que tu apprécies chez toi – et ce, indépendamment des succès extérieurs. Par exemple : « Je suis sensible », « Je sais écouter » ou « Je suis courageux ». Ces qualités te donnent de la valeur, pas seulement ce que tu réalises.

    Conclusion

    Le syndrome d’Imposter peut rendre la vie difficile, car il nous plonge dans un doute et une anxiété permanents. Mais il est important de comprendre que cela n’a rien à voir avec la réalité, mais que cela provient d’une faible estime de soi. Si nous apprenons à reconnaître nos réussites, à parler ouvertement de nos sentiments et à renforcer notre estime de soi, nous pouvons peu à peu surmonter le syndrome de l’impasse.

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